Une pochette en tissu avec de jolis boutons hiboux de la part de Marielle R :
Pochette en tissu
Tampon renard
Tara crée toujours de merveilleux tampons. Ici elle met en scène un renard :
Pour Miwag, le plan d’un pont du canal de Champagne en Bourgogne :
Pour Durandal, un mail art sur Roland et sa fidèle épée en référence à son pseudo :
Pour Colette G, une enveloppe Bretagne (mais pas la mer ), avec le timbre jonc de Bretagne :
Pour Françoise S et son appel carte de France (ça fait bien longtemps que l’on n’a pas correspondu et je ne sais pas si cet appel est toujours valable ni même si Françoise continue l’art postal, de toute façon ça lui fera une surprise ), une enveloppe avec un vieux timbre drapeau Français :
En timbres
En rangeant, j’ai trouvé un catalogue de fiches sur des timbres. Et hop, des mail art !
Pour Pascalou, des poissons :
Pour Jean-Paul P, un une gravure de bateau pour son appel sur la mer :
Pour Zarou, l’histoire du vélo :
Pour Florence, un dragon (le ‘timbre’, c’est saint Georges) :
Pour Lysemartin et son appel maisons du monde, des cases tanzaniennes :
Un parchemin plié en deux et fermé par un ruban de raphia m’a été envoyé par Katedine . Une évocation du Roman de Renart ?
Rq : je ne sais pas pourquoi la couleur vieux jaune du parchemin ne veut pas passer à l’enregistrement !
La fontaine à la grenouille
Un renard prend le frais près à la fontaine de la grenouille. A ses pieds, des galets renards et hiboux et dans le sous-bois, une fraise (le timbre ). Un mail art de Florence :
Des moutons et des loups
Une réflexion bien juste de Jean Amadou mise en scène par Lysemartin. Un dessin associé au timbre Mérinos d’Arles :
Leporello
Une merveilleuse création de Durandal, avec de la récup, notamment de capsules altérées, le tout dans une belle enveloppe calligraphiée affranchie par des timbres ‘masque’ :
Un poème de Louise Labé
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;
J’ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m’est et trop molle et trop dure.
J’ai grands ennuis entremêlés de joie.
Tout à un coup je ris et je larmoie,
Et en plaisir maint grief tourment j’endure ;
Mon bien s’en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
Ainsi Amour inconstamment me mène ;
Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.
Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.
C’est les vacances !
C’est les vacances. Isa P est au bord de la mer et observe les baleines (bon, pour rejoindre le bord de mer il faut traverser une route bien encombrée
) :
Le soir, on se retrouve autour du feu avec Colette G pour partager des marshmallows et chanter en chœur
Des merveilles variées
De drôles de bras ! Est-un robot géant ? Ce sont les bras qui soutiennent la fusée Ariane sur son pas de tire. Et dans l’enveloppe maison confectionnée à partir d’un sac de course en papier, trois ATC. Dans l’ordre : Big Ben, L’astronome et fire-police. Des créations de Jean-Paul P :
On sort des sentiers battus avec les ânes . Un carnet créé par Fred. Je le présente ici ouvert. Il m’est parvenu fermé par une ficelle en sisal. Le timbre me souhaite « bonnes vacances »
:
Tampons renard maison, adresse joliment calligraphiée sur une enveloppe maison en papier ancien et dans cette enveloppe, la photocopie d’une page d’un ancien livre russe trouvé sur une brocante. Le tout est un envoi de Tara dont on reconnait la ‘patte’
. Le timbre : Être le bouc émissaire.
Sans doute (vu l’illustration) le conte : Le chien, le coq et le renard par Ésope .
Un chien et un coq ayant fait société allaient par chemins. Le soir venu, le coq monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l’arbre qui était creux. Or le coq ayant, suivant son habitude, chanté avant le jour, un renard l’entendit, accourut et, s’arrêtant en bas de l’arbre, le pria de descendre vers lui ; car il désirait embrasser une bête qui avait une si belle voix. Le coq lui dit d’éveiller d’abord le portier qui dormait au pied de l’arbre : il descendrait, quand celui-ci aurait ouvert. Alors, comme le renard cherchait à parler au portier, le chien bondit brusquement et le mit en pièces.