Pour Katedine, non pas des parapluies mais des ombrelles (envie de soleil
)

Pour Tara, la photo d’une broderie au point de croix que j’avais faite pour ma belle-sœur il y a quelques années (des chats naturellement)
:

Pour Dentellebleue, un éléphant pris dans une fâcheuse posture :

Pour Maho, des insectes :

Pour Florence et son appel loup, les yeux de la forêt
:

Pour Jean-François V, une vieille photo de bord de mer prise il y a bien longtemps avec quoi donc ? … une sirène
:

Pour Evehern, des roses blanches et une référence à la chanson réaliste (tellement triste !) les roses blanches :

Pour Eric Bruth, des coquelicots :

Pour Lutin, la photo d’une tapisserie faite il y a longtemps pour une boutique parisienne, des poules bien sûr
:

Pour Jean-Paul P des cartes à jouer :

Pour Coco42 (Cocoquinette) des cococcinelles
:

Pour Marielle R, savoir raccommoder à la main ou à la machine
:

Une jolie broderie collée sur de vieux papiers par Martine :

Esprit botanique avec cette carte de Doronic dans une enveloppe calligraphiée au timbre âne par Dani :

Ambiance hivernale avec cette carte dans une enveloppe placée sous le signe du renard et des hiboux avec un joli timbre souris venant de Finlande par Nadine N :

Sauter du coq à l’âne (ou de 2017 à 2018
) par Tara avec le timbre Âne du Cotentin :

Une peinture revisitée par Jean-Paul P avec le timbre jonquille :

Déjà arrivé chez Fred, ces libellules
:

Pour Lysemartin, c’est la métamorphose des nymphettes
:

Pour Nanou, un manège dans un paysage enneigé :

Mail art graphique pour Nadine N et son appel jardin :

Collage en noir et blanc pour Isa S :

Collage presque entièrement en noir et blanc pour Marielle R (Marie-Aile), invitation au voyage imaginaire :

Pour Eric B, voyage imaginaire aussi mais plus dans l’esprit du Petit Prince, avec un clin d’oeil à sa passion pour les grenouilles
:

Enfin pour Miwag et son appel sur les ponts, une variation sur le pont du Gard :

Pour Dani, un reflet étonnant : Un visage ? Non, le reflet d’une montagne dans l’eau tourné à 90°
. « Rock Face » a valu à José Pesquero le grand prix du festival de Montier en Der ! J’ai joué le mode reflet à fond en faisant refléter l’adresse et le timbre
.

Édition du 06.12.17 :
J’avais demandé à ma postière d’oblitérer les timbres en parallèle pour continuer l’effet reflet. Elle l’a bien fait Merci à elle et bravo !

Pour Jamari et son nouvel appel : Renardeaux, j’ai joué la simplicité avec ce petit renard couché au milieu d’un cadre de feuilles d’automne
. Attention au coq qui veille
!

Pour son appel collage, un paysage fantasmagorique pour Senninha :

Pour Tetenlair (ex Fullyscrap), un jardin extraordinaire :

Pour Jean-François V, un délire marin :

Sorcière pour Jamari :

Dragon pour Florence :

Expression détournée sur les cartes pour Jean-Paul P :

Papier d’emballage de boucherie pour Piggy :

Poisson pour Pascalou :

Mixed-media pour ce mail art hibou de Colette G :

Collage pour cette renarde qui sous son air fort sympathique n’en vole pas moins des poules pour son repas
. Un mail art de Bobine :

Un super mail art hibou de Jamari en collage et en relief contenant trois ATC : deux hiboux et un ‘cheveux d’ange’
:

Sympa aussi les deux timbres Maïs et Petit épeautre.
De drôles de bras ! Est-un robot géant ? Ce sont les bras qui soutiennent la fusée Ariane sur son pas de tire. Et dans l’enveloppe maison confectionnée à partir d’un sac de course en papier, trois ATC. Dans l’ordre : Big Ben, L’astronome et fire-police. Des créations de Jean-Paul P
:


On sort des sentiers battus avec les ânes
. Un carnet créé par Fred. Je le présente ici ouvert. Il m’est parvenu fermé par une ficelle en sisal. Le timbre me souhaite « bonnes vacances »
:

Tampons renard maison, adresse joliment calligraphiée sur une enveloppe maison en papier ancien et dans cette enveloppe, la photocopie d’une page d’un ancien livre russe trouvé sur une brocante. Le tout est un envoi de Tara dont on reconnait la ‘patte’
. Le timbre : Être le bouc émissaire.


Sans doute (vu l’illustration) le conte : Le chien, le coq et le renard par Ésope
.
Un chien et un coq ayant fait société allaient par chemins. Le soir venu, le coq monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l’arbre qui était creux. Or le coq ayant, suivant son habitude, chanté avant le jour, un renard l’entendit, accourut et, s’arrêtant en bas de l’arbre, le pria de descendre vers lui ; car il désirait embrasser une bête qui avait une si belle voix. Le coq lui dit d’éveiller d’abord le portier qui dormait au pied de l’arbre : il descendrait, quand celui-ci aurait ouvert. Alors, comme le renard cherchait à parler au portier, le chien bondit brusquement et le mit en pièces.
Pour Catimodo, un air de Vivaldi dans la tête et voici les quatre saisons au jardin d’Éden avec Adam et le timbre qui représente peut-être sa maison
