Un hibou de Colette G :
De PeruA4 (devenue Adriane), une petite Frida :
Un proverbe par Marielle (Marie aile) :
Vous avez deviné ? (être plein aux as )
Un hibou de Colette G :
De PeruA4 (devenue Adriane), une petite Frida :
Un proverbe par Marielle (Marie aile) :
Vous avez deviné ? (être plein aux as )
Par Jamari, des hiboux en mail art et en ATC :
Par Michèle C (Micha) aimer les hiboux à perdre la raison :
Par les élèves de Annick SB un hibou au crayon de couleur :
Petit hibou sur sa branche, hibou littéraire dessiné sur la page d’un vieux livre par Jamari. Le timbre commémore le lancement du premier satellite français, Astérix, il y a 50 ans (en 2015 ) :
Un renard, des renards … et un coq
Un renard sur l’enveloppe tourne le dos au coq du timbre, peut-être le gallinacé va-t-il en réchapper ? Et dans l’enveloppe, trois ATC. Un envoi de Nanou :
Esprit botanique avec cette jolie fleur (une nigelle de Damas ?) et cet insecte encadré par un vieux papier et surveillés par l’œil du Petit-duc de Grant (le timbre). Cette aquarelle a été réalisée par Maho.
Voici un véritable travail d’artiste de Durandal.
Livre d’artiste ou livre pauvre, voici un magnifique leporello (un livre accordéon) par Durandal. Il s’agit de la fable de Jean de La Fontaine : Le loup plaidant contre le renard par devant le singe. Elle est artistiquement calligraphiée, ornée de tampons dorés. Les pages de couverture façon métallisées se ferment par un ruban et un cachet de cire. J’ai reçu ce beau livre dans une enveloppe maison.
L’enveloppe et le livret fermé recto et verso :
Le livret ouvert :
La Fable :
Un Loup disait que l’on l’avait volé :
Un Renard, son voisin, d’assez mauvaise vie,
Pour ce prétendu vol par lui fut appelé.
Devant le Singe il fut plaidé,
Non point par Avocats, mais par chaque Partie.
Thémis n’avait point travaillé,
De mémoire de Singe, à fait plus embrouillé.
Le Magistrat suait en son lit de Justice.
Après qu’on eut bien contesté,
Répliqué, crié, tempêté,
Le Juge, instruit de leur malice,
Leur dit : « Je vous connais de longtemps, mes amis,
Et tous deux vous paierez l’amende ;
Car toi, Loup, tu te plains, quoiqu’on ne t’ait rien pris ;
Et toi, Renard, as pris ce que l’on te demande. »
Le juge prétendait qu’à tort et à travers
On ne saurait manquer, condamnant un pervers.
Jean de La Fontaine
De la part de bobine, ce renard (ou ce furet ? en tout cas un rouquin
) trop mignon ce tag ! !
Esprit botanique par Kerly, accompagné d’un Haïku
« De la terre au ciel,
arbre de sagesse,
la vie s’écoule »
Ossiane.
Drôle de hibou, un peu inquiétant, par Armaël :
Pascalou est très en forme . Deux mail art aujourd’hui.
D’abord un livre objet présenté dans cette enveloppe (avec en plus un petit médaillon) :
Voici le livre objet de type accordéon fermé :
Puis ouvert :
Et ce n’est pas tout. Voici le second mail art recto-verso :
Un modèle à faire au crochet . Et dans l’enveloppe une expression illustrant un de mes mots préférés : Apprendre. Même si je préfère à cette expression le fait de comprendre plutôt qu’apprendre par cœur
L’incroyable bestiaire de M. Henderson nous offre ces beaux hiboux envoyés par Isa P :
Miss dentelle de Calais par Pascalou :
Et un œil psychédélique peint par Guillaumel. Il accompagne celui de la Tarente Géante sur le timbre ‘les animaux nous regardent’. Joint à cet envoi, deux atc :
Annick SB avait proposé d’illustrer un de nos verbes préférés. J’avais choisi le verbe : Apprendre. Et voici le résultat
:
Avec Colette G, un peu de botanique :
Avec Coco 42, cocoquinette, la famille hibou au complet
:
Et avec Qiu, un magnifique dessin à l’encre, à main levée !!!!!! Bravo pour ce bel hibou
:
Pour Pascalou un envoi avec une quinzaine d’étoiles au crochet dans l’enveloppe (affranchie avec un timbre Ben) :
En retour, une grosse tête de carnaval dans son style particulier avec une surprise textile dans l’enveloppe (avec un joli timbre marin, pour entendre la mer dans un coquillage) :
Pour Dentellebleue et son appel timbre mis en scène, un timbre tunisien : des raisins convoités par un renard gourmand. Avec la complicité de Jean de La Fontaine
J’ai continué l’image à l’aquarelle d’où la différence de ton