Sorcière pour Jamari :
Dragon pour Florence :
Expression détournée sur les cartes pour Jean-Paul P :
Papier d’emballage de boucherie pour Piggy :
Poisson pour Pascalou :
Sorcière pour Jamari :
Dragon pour Florence :
Expression détournée sur les cartes pour Jean-Paul P :
Papier d’emballage de boucherie pour Piggy :
Poisson pour Pascalou :
Pour Kerly et son appel poésie :
Les épis sont mûrs pour la moisson
Voilà la fin de la saison.
Les épis sont mûrs lourds et courbés,
Voici le temps de les couper.
Les épis sous un soleil de plomb
Penchent vers le sol sans aplomb.
L’heure est venue de couper
Les épis et cueillir le blé.
Les épis sous le soleil tout ronds
Dorés et mûris vont au fond
D’un lourd panier à emporter
Au moulin et au grenier.
Et voilà la fin de la saison,
Petit épi, c’est la moisson.
Sous le soleil, des épis coupés
Luisent dessous la rosée.
Gilbert CZULY-MSCZANOWSK
Rq : envoyé en septembre, j’avais oublié de le publier
C’est bientôt mon anniversaire. Piggy m’envoie ce bel hibou dans les couleurs automnales que j’aime tant :
Dentellebleue a imprimé ce tableau russe sur tissu. Elle l’a agrémenté de perles qu’elle a cousu. J’adore ce style de gravure. Après recherche, ce ne serait pas Bilibine qui en serait l’auteur mais Evgeny Mikhailovich Rachev. Il s’agit d’une illustration du conte : Kolobok (sorte de pain rond) qui correspond à notre version de roule galette .
Rq : Le Joyeux anniversaire en lettres argentées placé en bas du tableau n’apparaît pas au scan !
Hibou blanc d’Ursu :
Hibou au crochet par Isa P avec le kit pour en faire une broche à l’intérieur :
Illustration d’un proverbe par Lysemartin avec le timbre année 70 aux couleurs assorties :
Sciences et techniques avec cette machine à empierrer par Jean-Paul P (une enveloppe faite maison) :
Une affiche renard et un timbre assorti qui viennent tout droit de Finlande par Nadine N :
Mixed-media pour ce mail art hibou de Colette G :
Collage pour cette renarde qui sous son air fort sympathique n’en vole pas moins des poules pour son repas . Un mail art de Bobine :
Maître renard par Miwag. On dirait des illustrations de Benjamin Rabier . A noter les timbres : Histoire naturelle de Buffon, le renard et renard et renarde par l’odeur alléchés
Une réflexion bien juste de Jean Amadou mise en scène par Lysemartin. Un dessin associé au timbre Mérinos d’Arles :
Une merveilleuse création de Durandal, avec de la récup, notamment de capsules altérées, le tout dans une belle enveloppe calligraphiée affranchie par des timbres ‘masque’ :
Un poème de Louise Labé
Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;
J’ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m’est et trop molle et trop dure.
J’ai grands ennuis entremêlés de joie.
Tout à un coup je ris et je larmoie,
Et en plaisir maint grief tourment j’endure ;
Mon bien s’en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
Ainsi Amour inconstamment me mène ;
Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.
Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.
De drôles de bras ! Est-un robot géant ? Ce sont les bras qui soutiennent la fusée Ariane sur son pas de tire. Et dans l’enveloppe maison confectionnée à partir d’un sac de course en papier, trois ATC. Dans l’ordre : Big Ben, L’astronome et fire-police. Des créations de Jean-Paul P :
On sort des sentiers battus avec les ânes . Un carnet créé par Fred. Je le présente ici ouvert. Il m’est parvenu fermé par une ficelle en sisal. Le timbre me souhaite « bonnes vacances »
:
Tampons renard maison, adresse joliment calligraphiée sur une enveloppe maison en papier ancien et dans cette enveloppe, la photocopie d’une page d’un ancien livre russe trouvé sur une brocante. Le tout est un envoi de Tara dont on reconnait la ‘patte’
. Le timbre : Être le bouc émissaire.
Sans doute (vu l’illustration) le conte : Le chien, le coq et le renard par Ésope .
Un chien et un coq ayant fait société allaient par chemins. Le soir venu, le coq monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l’arbre qui était creux. Or le coq ayant, suivant son habitude, chanté avant le jour, un renard l’entendit, accourut et, s’arrêtant en bas de l’arbre, le pria de descendre vers lui ; car il désirait embrasser une bête qui avait une si belle voix. Le coq lui dit d’éveiller d’abord le portier qui dormait au pied de l’arbre : il descendrait, quand celui-ci aurait ouvert. Alors, comme le renard cherchait à parler au portier, le chien bondit brusquement et le mit en pièces.
Une affiche du timbre ‘le corbeau et le renard’ de la série des fables de La Fontaine avec le timbre correspondant par Martine :
Des hiboux plein d’humour et des ATC par Nanou :