Pour Ursu, une belle étiquette de bière pour son appel correspondant :

Pour Marielle et son appel saisons, l’automne. Avec une phrase tirée du livre de Delia Owen : Là où chantent les écrevisses (voir ICI) . Avec un timbre timbre pré-oblitéré assorti.

Pour Bobine qui a un appel jardins extraordinaires, les carrés du potager de Villandry avec cette réflexion (en dégradé de verts) de Victor Cherbuliez dans L’art et la nature :
Qu’est-ce qu’un jardin? C’est la nature convertie de force à la géométrie.
Cette pensée correspond bien à la photo aérienne de ces potagers
! Pour l’affranchissement, j’ai utilisé les timbres : Les jardins de Versailles et Parc floral de Paris (à 2F40 et 2F80) ainsi que deux Marianne pour compléter (ça tombe bien, en deux tons de vert différents)

Je continue mon approche du lettrage avec ces phrases.
Pour Durandal, une maxime que chacun devrait faire sienne
avec un timbre assorti d’un pays asiatique non identifié. Pour réaliser ce mail art, j’ai inventé un alphabet d’où est tiré le mot vie. Il est simple mais je le trouve pas mal
. Pour l’arc en ciel, j’ai utilisé des feutres classiques, de l’eau et un pinceau pour l’effet aquarelle. Je suis aussi contente de l’effet gouttes de pluie. Donc plein de nouvelles techniques pour moi.

Pour Dentellebleue, amoureuse des éléphants, un proverbe africain. Les timbres éléphant, sont d’un pays que je n’ai pas identifié. J’ai utilisé des feutres stabilo pen68 et pinselstifte (trouvés par hasard chez Noz. Etonnant non ? ) j’aime bien l’effet dégradé fait avec le pinceau trouvé dans la pochette de pinselstifte. Le mot éléphant est bordé d’un fin trait noir puis d’un plus épais en marron-orangé.

Pour Florence et son appel automne, une petite ritournelle qui va vous trotter dans la tête toute la journée
avec un timbre tchécoslovaque. C’est la première fois que j’utilise la technique de double écriture dans une phrase. J’ai utilisé un surligneur stabilo et un stabilo n°88. Les colchiques à l’aquarelle sont réalisées avec des crayons aquarelle.

La plupart de ces mail art sont affranchis avec des timbres de la collection : Kandinsky – dans le cercle (détail)
Pour Miwag, ce proverbe bien connu sur fond aquarellé :

Pour Lysemartin et son appel soleil, ce proverbe qui annonce de grands vents (avec le timbre moulin de Steenvoorde) :

Quelques réflexions sur la lecture qui me semblent si justes
:
Pour Isa S, un proverbe chinois ( avec un vieux timbre Édition et Reliure) :

Pour Françoise S une réflexion:

La même pour Isa P. Bibliothécaire, elle devrait apprécier
:

Une autre réflexion de Victor Hugo sur l’éducation cette fois. Tout en couleurs pour Zarou, maîtresse à la retraite, ce mail art lui rappellera les photos de classe

La même phrase en noir et blanc pour l’appel de Dani, avec deux timbres ‘scolaire’ et une Marianne en franc :

Jean-Philippe Gillot m’envoie ce premier mail art :

Il me suggère de regarder avant, je lui répond par une phrase de Victor Hugo qui nous invite à ne jamais nous taire
. J’ai inventé cette police d’écriture ruban. Elle me plait bien
:

Tout tourne autour du rêve aujourd’hui
.
Être dans la lune, c’est rêver (et vice versa
) en aquarelle pour Florence et son appel lune
:

Pour Michèle H, un portrait à l’encre de chine fait il y quelques années, il était accroché dans la chambre de mon bébé (c’est vous dire si ça date
). Je crois me souvenir que je m’étais inspirée d’un dessin de Carl Larsson.

Pour Lola, une nouvelle correspondante du forum Mailart à l’infini, j’ai refait le même dessin que celui ci-dessus car j’ai trouvé qu’il se prêtait bien à son thème
:

Je trouve que la différence de papier donne une ambiance différente au dessin non?
Florence a fait une série sur les trous de serrure. Voici pour elle, mon interprétation à l’encre d’après un dessin de Carl Larsson. La curiosité

L’écureuil est l’animal préféré de Marielle. Alors voici ce mail art d’après Emily Hogarth

C’est Thérèse qui a réalisé cet hibou en peinture. Il cherche son œuf. Ah ben non, c’est un œuf de dinde
. En plus ce mail art est parfumé !

Thérèse m’a répondu à ce mail art que j’avais oublié de publier.

Pour une petite fille de quatre ans, une mise en scène de la comptine qu’elle connait bien, tirée de l’album illustré par Uri Shulevitz aux éditions autrement :
